En guise de conclusion :

 

Neuf mois se sont écoulés depuis la lecture de l’article " Sous les pavages, le triangle d’or " , neuf mois durant lesquels je me suis passionné pour les triangles, losanges et autres rectangles d’or. Beaucoup de travail devant mon micro ou devant la feuille de papier. Mais aussi le sentiment qu’il y en a encore beaucoup à faire , même s’il faut bien décider un jour de présenter tout cela, en sachant bien que c’est imparfait , qu’il manque des réponses à des questions soulevées ou des questions auxquelles on pense une fois rédigée cette présentation : par exemple combien y-a-t-il de décagones dans un triangle d’or pavé à l’ordre k ?

Pris par ce travail, je n’ai pas eu le temps de rechercher les travaux sur le sujet et j’ai bien peur que ce que j’ai réalisé ne l’ait déjà été, et de manière bien plus approfondie. Qu’importe ! J’ai pris plaisir à ce sujet et je remercie les trois élèves de cette classe de Terminale de 93-94 qui ont provoqué cette recherche : ils avaient une qualité que j’ai appréciée : la curiosité.

Au moment de publier l’étude, s’est posé le problème du mode de publication : papier, disquette-programme ou disquette contenant les fichiers-images à défaut de pouvoir faire des tirages-couleurs de toutes les images capturées?

J’ai choisi, au moins provisoirement, de publier un document papier noir et blanc plus sommaire et les logiciels sur disquettes. Cela ne me satisfait pas tout à fait , il semble qu’un document multimédia serait plus adapté à cette présentation; je vais donc m’atteler à cette tache, mais ce n’est pas évident .

En attendant sa publication future , je vous souhaite de partager mon plaisir .

Pierre Crespin . Janvier 1995 .

 


POST-SCRIPTUM ( Octobre 97 )

Cette fois je m'estime satisfait puisque je crois avoir trouvé un mode de diffusion de ces travaux qui me convient parfaitement.

Evidemment le montage du document de type "Hypertexte" diffusable sur Internet m'a demandé une énorme quantité de travail, mais c'est un travail qui m'a passioné : c'est un mode d'expression nouveau qui me paraît pouvoir intéresser d'autres collègues et, aussi, les élèves.

Par la possibilité qu'offre un document HTML d'intégrer des fichiers CABRI, DERIVE, EXCEL, etc…, il me semble que la présentation est beaucoup plus "active".

Il demeure beaucoup d'imperfections dans ces documents, mais l'ensemble est maintant présentable.

Je peux donc l'offrir volontiers à la curiosité de mes futurs lecteurs "Internautes".